Yukimura Chizuru est la fille d'un docteur qui travaille à Edo, Yukimura Kôdô. Un jour, le père part d'Edo, sans sa fille, afin de travailler en tant que médecin volontaire à Kyoto. N'ayant plus de nouvelles depuis un mois, elle décide de se déguiser en garçon et d'aller à Kyoto. La-bas, pendant la nuit, elle se fait attaquer par des voleurs, ensuite tués par des Onis (démons) étranges. Ceux-ci attaquent Chizuru. Par la suite, elle est sauvée par trois personnes appartenant au Shinsengumi, une force de police spéciale composée seulement d'hommes. Elle se fait enlever, bâillonner et attacher par Okita Sōji la séquestrant dans une chambre du Shisengumi, ils menacent de la tuer, croyant que Chizuru est un garçon. Elle donne vite son identité et il se trouve qu'ils recherchent la même personne. Ils décident donc de la protéger et de l'aider à retrouver son père. Elle se liera par la suite d'amitié avec eux bien que leur relation ait mal commencé.

Etant une grande amatrice d'anime sur les Samouraï comme celui-ci, j'ai commencé à regarder Hakuouki sans trop savoir à quoi m'attendre. Et ce fut une bonne surprise, même une excellente. Un chara design à mon goût, avec une histoire prenante et des personnages attachants. Hakuouki devient d'autant plus intéressant quand on découvre que cette histoire est en partie tirée de faits réels, je pense plus particulièrement au Shinsengumi et à des personnages tels que Hijikata Toshizô, Kondo Isami, Saito Hajime... On peut même dire que les membres du Shinsengumi dans cet anime ont tous existé, ce qui rend l'histoire d'autant plus passionnante. Je conseille donc vivement cet anime, que j'ai adoré. Un petit moins peut-être quand au fait qu'au début du visionnage de l'anime on s'embrouille entre certains personnages qui se ressemble, mais on apprend vite à les différencier.